Contactez nous au 02 41 22 04 54

un parc, des arbres,
   un lieu de recueillement

Dans les médias

Le 31 Octobre 2012

Le Parisien

En images: les cercueils les + insolites

Des cercueils en forme de boîtes de chocolats, d'ampoules ou de stations d'essence: pour accompagner les défunts dans l'au-delà, ces entreprises de pompes funèbres proposent des offres originales. Une façon aussi de faciliter le deuil des familles en leur proposant des funérailles personnalisées, à l'image de l'être cher.

Le Vendredi 19 Octobre 2012

L'Est Éclair

Même après son décès, on peut souhaiter continuer à œuvrer pour le bien de la planète et des générations à venir. Cette idée n'est pas si saugrenue et de nombreux procédés permettent aujourd'hui de reposer en paix… et au vert !

Le 1er Novembre 2011

Sud Ouest

Le cimetière au coeur de la mémoire

Plus d'un Français sur deux s'y rendra aujourd'hui pour honorer ses disparus. Une tradition qui s'adapte peu à peu aux nouveaux rituels funéraires, et notamment à la crémation.  

9 Français sur 10 se rendent au moins une fois par an au cimetière. Mais, avec le développement de la crémation, l'heure est à l'imagination pour trouver d'autres lieux de mémoire. PH. TARIS Aujourd'hui ce n'est pas la fête des morts, mais la célébration par l'Église catholique de la fête de tous les saints. Pas forcément ceux qui ont été estampillés officiellement, mais la foule innombrable de ceux et de celles qui ont été de « vivants et lumineux témoins du Christ ». Reste que dans la tradition populaire, qui a aussi annexé les fêtes religieuses en les intégrant aux habitudes laïques, la confusion se perpétue, et les 23 millions de pots de chrysanthèmes vendus chaque année en France (lire aussi en page 4) seront en grande partie déposés dans des cimetières ou autres lieux de recueillement dédiés aux morts en cette Toussaint.

Lundi 1er Novembre 2010

Le Figaro.fr

Le besoin de nouveaux rites funéraires

C'est au retour des obsèques d'un ami, brutalement décédé à l'âge de 37 ans, que Pierre-Henri Thérond a eu l'idée de créer une société concevant des cérémonies de funérailles alternatives, laïques et humanistes (www.gracefully.fr). «J'étais triste et en colère. Les rares paroles, mécaniques, que j'avais entendu prononcer par le célébrant n'avaient rien à voir avec celui qu'était Fabrice. Et rien de son univers n'avait pu être partagé par nous tous, qui grelottions de froid et de chagrin dans un environnement austère. Je me suis dit qu'il faudrait vraiment proposer autre chose aux familles endeuillées.»

Le 2 Novembre 2010

France 5

Documentaire "Le Business de la mort"

Auteur : HERVE BRÈQUE, JEAN-BAPTISTE GALLOT, MARIE MARTIN, STÉPHANE RODRIGUEZ
Durée : 52 minutes
Réalisateur : STÉPHANE RODRIGUEZ
Production : LES FILMS DE L'ODYSSEE
Participation : FRANCE TÉLÉVISIONS

Mercredi 9 Septembre 2009

Canal +

Documentaire "Cadavre Exquis"

Durée : 50min. Genre : Docu-info - Société Origine : . 2008. Stéréo. Réalisation : Marie David.

Dans la case mensuelle Emergences Canal+ a proposé des docus de 52 minutes sur les tendances de la société actuelle et les mouvements émergeants.

Canal + a diffusé le Mercredi 9 Septembre un documentaire sur le marché des funérailles

Au programme « Cadavre exquis », comment des professionnels de la mort se démènent pour nous offrir une large gamme de funérailles.

Le 6 Janvier 2009

Développement-durable.com

Votre dernier voyage sera-t-il écolo ?

L’être humain est un pollueur. Il pollue toute sa vie et même après sa mort. Son cercueil, de bois massif est couvert de vernis et autres peintures toxique à l’origine d’émissions importantes de CO2 et qui endommagent les nappes phréatiques. Les crémations quant à elles ne sont pas plus écologiques, le cercueil en bois se consomme en 2 heures environ, nécessite d’importantes quantités de gaz et génèrent des émissions nocives. Alors, en cette période de crise environnementale et économique, des alternatives voient le jour. 

Si la tradition des pays latins comme la France peine à opter pour des enterrements écologiques et moins onéreux, d’autres pays de l’Europe du nord n’hésitent pas à franchir le pas pour leurs proches défunts. Tandis que les croque-morts voient d’un mauvais œil l’arrivée de ces solutions alternatives plus économiques, ils s’organisent pour préserver leurs cercueils traditionnels.

Dimanche 2 Novembre 2008

Le Journal du Dimanche

Écolos à la vie à la mort

Les catholiques, mais pas seulement, commémorent en ce 2 novembre, jour des Morts, leurs défunts. L'argument écologique (laisser des cendres plutôt qu'un cadavre) pèse de plus en plus dans le choix de l'incinération.

 

Mais des solutions alternatives aux traditionnels cercueils en chêne, pin ou frêne, qui nécessitent pour leur fabrication plus de 90.000 m3 de bois par an, commencent à émerger.

Le 1er Novembre 2008

M6.fr

Tendance: la crémation écolo

L'écologie est partout, même dans la mort. En ce week-end de la Toussaint, vous êtes nombreux à fleurir les tombes de vos proches disparus. Mais, tous ne reposent pas sous terre. De plus en plus de Français font en effet le choix de la crémation, et cela concerne jusqu'à 50% des obsèques dans certaines grandes villes.

Jeudi 30 Octobre 2008

Ouest-France

Un parc funéraire écologique

Près d’Angers, des arbres de la mémoire accueillent des urnes biodégradables. 

En Angleterre, on appelle ça « Green Death », «La mort verte ». A Pruillé, près d’Angers, l’entreprise « Les Arbres de mémoire » exploite, depuis 2004, un parc de 4,5 hectares en pleine campagne.

À l’intérieur, 250 arbres ont été plantés, de douze essences différentes: chênes pédonculés, frênes, Tilleuls, érables…Pour une somme allant de 1100€ à 3900 €, en fonction de la durée de la concession, les familles des défunts peuvent placer une urne biodégradable au cœur des racines d’un arbre qu’ils ont choisi. Une idée qui permet aux familles « un transfert affectif vers l’arbre », selon le créateur du parc, Réginald Freuchet.

Le 28 Octobre 2008

AFP

Écolo jusqu'au dernier voyage: pas facile en France

En retard sur ses voisins européens, la France en reste au bois pour les cercueils, alors que fibres végétales et carton sont depuis longtemps disponibles ailleurs: quelques pionniers lancés dans la fabrication de cercueils "verts" ne parviennent pas à les commercialiser, sans que la loi ne s'y oppose. Comme si la France rechignait encore à placer ses défunts dans du carton.

Tandem - Mai 2008

Macif

Tandem n°22

"Enfin, toujours selon l'étude CREDOC, la majorité des personnes interrogées envisagent une crémation (41%) plutôt qu'une inhumation (39%). Et de nouvelles idées voient le jour, à l'instar du parc "Les Arbres de Mémoire" à Angers, qui proposent de placer les cendres dans une urne biodégradable, au pied d'un arbre.

27 Octobre 2010

Mes Courses pour la Planète

Adieu

550 000 décès par an dans l’hexagone, au rythme d’un mètre cube de bois pour six cercueils : le marché français du cercueil utilise donc chaque année près de 100 000 stères de chêne, pin ou frêne (la plupart du temps issus de forêts françaises ou européennes) mais aussi d’acajou et autres bois exotiques importés de l’autre bout du monde… pour finir enterrés ou consumés dans l’hexagone. La législation française impose que les cercueils soient fabriqués à partir de matériaux biodégradables et qu’ils répondent à des caractéristiques d’étanchéité déterminant l’épaisseur des planches au millimètre près. Mais si le bois est évidemment naturel et biodégradable, il n’en va pas de même pour les autres éléments du cercueil : vernis, capiton intérieur et ornements par exemple.  Tout cela, pour un produit qui ne « sert » en réalité que quelques jours.
Du coup, des alternatives émergent en France...

Le 2 Novembre 2007

Le Figaro

Disperser les cendres des morts au pied des arbres

Alternative écologique au cimetière traditionnel, les parcs de la mémoire proposent de disperser les cendres du défunt au pied d'un arbre. Très répandu en Suisse ou en Allemagne où il en existe respectivement 80 et 50, ce concept n'en est qu'à son balbutiement en France. « À l'heure actuelle, il n'y a que deux parcs forestiers de ce type dans l'Hexagone, le nôtre près d'Angers à Beaucouzé et un autre en Bretagne », explique Reginald Freuchet, directeur général des Arbres de la Mémoire. Cette entreprise propose aux personnes qui choisissent la crémation à leur décès de répandre leurs cendres au pied d'un arbre.

Le 1er Novembre 2007

Europe1.fr

Les obsèques aussi se mettent au vert

Les sociétés de pompes funèbres s'adaptent à la fibre écologique de leurs clients et proposent de nouvelles prestations plus "vertes" pour accompagner les défunts. Parmi elles, le cercueil en carton, biodégradable et économique, et les "arbres de mémoire" pour remplacer les pierres tombales. 

Les Français prévoient les obsèques de plus en plus tôt. L'enquête d'Elizabeth Assayag.

Le 1er Novembre 2007

Le Courrier de l'Ouest

Au pied des Arbres de Mémoire, à Pruillé, un lieu de repos écolo pour les défunts

Près de Feneu, un parc privé accueille les cendres des défunts. Mais une loi en suspens freine son développement et le menace de mort. Réginald Freuchet ne comprend pas cet acharnement contre « l’alternative écologique au cimetière ».

Le 16 Août 2007

Le Point.fr

Des cercueils en carton

Même mort, vous pouvez faire un dernier geste pour l'environnement. Thierry Domenget est fabricant de cercueils biodégradables à Tours. Lors du dernier Salon international de l'art funéraire, au Bourget, il a fait sensation avec un cercueil en BeeBoard - du carton alvéolaire.

Mardi 28 Septembre 2004

Ouest France

Après la crémation, l'arbre de mémoire

par Jean-Michel Hansen.

Le premier parc en France inauguré dans le Haut-Anjou, près d'Angers

Grâce à l'urne biodégradable, les cendres vont directement aux racines : « L'arbre devient une trace de mémoire », explique Joël Freuchet.

Deux industriels angevins viennent d'inventer un nouveau concept pour l'après crémation. Près de Feneu, ils ont réalisé un parc, lieu de recueillement, baptisé « Les arbres de mémoire ». Les cendres de la personne disparue sont versées près des racines. L'arbre perpétue le souvenir.

Le 30 Octobre 2004

Libération

Les funérailles, traditions et retrouvailles

Rien n'échappe à la mode, et surtout pas la mort. L'histoire ancienne et toute récente des cimetières d'Occident, ardemment fouillée depuis les années 60, en témoigne. Rome sème ses nécropoles hors la ville et la vie, plantant ses tombeaux de pierre le long des routes. Le Moyen Age accueille ses morts dans le giron de l'église, au coeur de la cité, promeut la mise en terre ­ l'inhumation ­ sous la sainte eau s'écoulant des saintes gouttières de l'édifice. Le cimetière paroissial, qui a d'abord l'allure d'un cloître, se mue en un forum enclos de murets : malgré ses fosses communes en perpétuel labour ­ la mort est le plus souvent anonyme ­, il devient lieu de vie et d'asile où tout se vend, y compris le sexe.